Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

enfr

Cosmos

Cosmos, de son nom Stéphane Pillon, commence le graffiti en 1987 dans le métro parisien.
Il considère que l’art en général est un moyen universel pour transmettre des messages et des émotions, d’où on blaze « Cosmos » qui signifie « Univers » en grec. Dans ses créations, Cosmos s’inspire de son passé de street-artist, avec plusieurs étapes de travail :
L’une verticale faite de signes, de graphs, l’autre horizontale dans la tradition du « Dripping » ou « Action Painting » des années 50. La notion d’« Action Painting » nous vient d’Harold Rosenberg, qui écrit en 1952 :  « À un certain moment, les peintres américains », dont Jackson Pollock, « commencèrent à considérer la toile comme un espace dans lequel reproduire, recréer, analyser ou « exprimer » un objet réel ou imaginaire. Ce qui devait passer sur la toile n’était pas une image, mais un fait, une action. » En passant d’une position de travail à l’autre, verticale puis horizontale, on peut, cependant, dire que Cosmos nous propose les deux, un mouvement en action et un monde imaginaire. Ainsi, on peut osciller entre deux fronts d’émotions face à ces œuvres : Tout d’abord c’est le choc des couleurs, si belles, si vivifiantes, avec ces signes qui sautillent sur les toiles, contribuant à nous procurer une énergie positive, foisonnante, fraiche de vie. Mais on peut aussi ressentir que cette densité́, ce remplissage jusqu’à la limite du tableau, sans blanc, nous étouffe. Ce serait alors l’expression d’un trop-plein, de signes, d’informations et d’actions, jusqu’à en craquer, prêt à exploser. – Florence Ormezzano, médiatrice culturelle Cosmos expose dans différentes galeries à Paris et à l’étranger Cosmos est allé au Maroc en 2019 pour s’inspirer de ses couleurs et de ses paysages afin de diversifier le rendu de ses œuvres.